La tente se dresse, telle un sanctuaire, au centre de la scène. La Dame à la licorne y fait une rencontre qui la transforme pour toujours.

Sortant de la tente, renée, elle agit et guérit à présent en prêtresse, par L’Esprit.

Sa devise nous renseigne. Fidèle à la tradition, elle ne vit plus que pour son seul désir, celui de le servir.

La Dame lègue à sa suivante ses joyaux dans un coffre au trésor. Il se présente comme le lieu d’une révélation de la Vérité. Elle nous invite à la contempler et nous dévoile des clefs.

Lion et licorne servent sans relâche. Couple royal, uni et relié à la tente sacrée, ils peuvent maintenant œuvrer en harmonie.

La Dame à la licorne ne connaît plus la souffrance. Sur l’île, tous vivent et œuvrent dans une joie profonde.

 

A mon seul désir, La Dame à la licorne , The Lady and the Unicorn, my sole desire
A mon seul désir : tapisserie de La Dame à la licorne (The Lady and the Unicorn, my sole desire), vers 1500, Musée de Cluny